Digital Genealogy, databases and documents
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Le mémorial de la Shoah est un musée consacré à l'histoire juive durant la Seconde Guerre mondiale dont l'axe central est l'enseignement de la Shoah. Ce musée a ouvert ses portes en janvier 2005, dans le quartier du Marais (4e arrondissement de Paris)

En plus du musée, le site du Mémorial de la Shoah abrite le Centre de documentation juive contemporaine (CDJC) fondé pendant la Seconde Guerre mondiale à Grenoble par Isaac Schneersohn et Léon Poliakov dans le but de réunir des preuves documentaires sur la destruction des Juifs d'Europe. Les chercheurs peuvent désormais y consulter un fonds d'archives parmi les plus importants d'Europe.

Le Mur des Noms, taillé directement de pierres provenant de Jerusalem, a pour but de ne jamais faire oublier aux Juifs comme aux non-Juifs ceux qui sont partis et ne sont jamais revenus ; les noms sont classés par date, de 1942 à 1944 et par ordre alphabétique ; si on retrouve le nom d'autres personnes décédées durant la Déportation française, ils seront gravés à la fin des autres noms avec comme introduction « Le Nom des déportés découverts après l'inscription ». Le mur des Noms se trouve à l'entrée du mémorial ; on peut y déposer des bougies juste devant les pierres où les noms sont inscrits.

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Le projet Akadem a été lancé en 2006. Il découlait du constat que la communauté juive de France témoigne d’un remarquable dynamisme culturel. Chaque mois, quantité de conférences, colloques, séminaires et cours sont organisés par une multitude d'associations, communautés ou établissements d'enseignement.

En l'espace de quelques années, Akadem est devenu un opérateur majeur dans le domaine de la diffusion de la culture juive. Akadem s’est donné pour ambition le stockage, l'enrichissement et la mise à disposition permanente de ces savoirs. Pensé comme une bibliothèque d’enseignement, une plateforme d’échanges et un outil de communication, le site Akadem constitue le premier "Campus numérique juif" accessible à tous, en tout lieu et à tout moment.

La plus-value d’Akadem réside dans l’enrichissement éditorial qui accompagne la seule captation des conférences. Les interventions des conférenciers sont chapitrées, ce qui confère plus de clarté au contenu et permet au visiteur de visionner tout ou partie de la conférence, en fonction de son temps disponible. Ce séquençage permet également l'indexation générale des contenus. Les documents contextuels, rassemblés sous le terme "Les documents" complètent et illustrent les propos du conférencier.

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Service à compétence nationale installé à Aix-en-Provence, les Archives nationales d’outre-mer ont pour mission la conservation des archives de l’expansion coloniale française.

Héritier de trois siècles d’histoire, il conserve deux grands ensembles au passé administratif et archivistique différent : d’une part les archives des ministères qui furent chargés du XVIIe au XXe siècle de l’empire colonial français, d’autre part les archives transférées des anciennes colonies et de l’Algérie lors de leur indépendance.

Le Centre conserve aujourd’hui 38 kilomètres d’archives et accueille chaque année plus de 2000 lecteurs.

Les fonds sont complexes, car longtemps l’histoire des archives coloniales a été mouvementée. Si la présence française outre-mer date du XVIe siècle, une administration spécifique aux colonies ne voit le jour qu’en 1710 avec la création au ministère de la Marine du bureau des Colonies. C’est la conséquence de la lente spécialisation de bureaux chargés de régler les problèmes touchant l’administration et la vie des possessions outre-mer. Jusqu’en 1858, les Colonies sont rattachées à la Marine, mais les fonds sont séparés physiquement. En 1858 est créé l’éphémère ministère de l’Algérie et des Colonies. Les Colonies sont à nouveau rattachées à la Marine en 1860.

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Les Archives nationales conservent et communiquent les archives des administrations centrales de l'État (hors ministères de la Défense et des Affaires étrangères), les minutes des notaires de Paris et des fonds privés d'intérêt national.

C'est la Révolution française qui crée les Archives nationales. Sous l'Ancien Régime, il n'existait pas d'organisation centralisée des archives de toute l'administration, mais seulement des dépôts particuliers (archives du Parlement, de la Chambre des comptes, de la chancellerie, du secrétariat des Affaires étrangères, etc.)

Le 12 septembre 1790, l'Assemblée constituante donne à ses archives le nom d'Archives nationales. Quatre ans plus tard, par la loi du 7 messidor an II (25 juin 1794), la Convention précise leur rôle et institue un « dépôt central des Archives nationales ». La loi affirme alors trois grands principes qui restent encore d'actualité :

• la centralisation des archives de la Nation;
• leur libre accès aux citoyens;
• la nécessité d'un réseau archivistique national. La loi du 5 brumaire an V (26 octobre 1796) compléta le dispositif en instaurant un service d'archives dans chaque chef-lieu de département.

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Gallica est la bibliothèque numérique de la Bibliothèque nationale de France et de ses partenaires. En ligne depuis 1997, elle s’enrichit chaque semaine de milliers de nouveautés et offre aujourd’hui accès à plus de 2 millions de documents.

Témoignages du patrimoine écrit français et de son rayonnement en Europe et dans le monde, les documents retenus par la BnF ont été choisis de façon à constituer une bibliothèque encyclopédique et raisonnée, représentative des grands auteurs français et des courants de recherche et de réflexion par delà les siècles.

Composée de documents rares ou difficiles d’accès, cette sélection est complétée par des documents permettant de resituer ces œuvres dans leur contexte intellectuel (mémoires de contemporains, dictionnaires, bibliographies). Des domaines aussi divers que l'histoire, la littérature, les sciences, la philosophie, le droit, l'économie et la science politique y sont représentés.

Différents types de supports sont représentés : imprimés (monographies, périodiques et presse) en mode image et en mode texte, manuscrits, documents sonores, partitions, documents iconographiques, cartes et plans.

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Inauguré le 5 novembre 2003 avec la mise en ligne des 1,3 million de fiches des "Morts pour la France" de la Première Guerre mondiale, complétées en 2008 par la mise en ligne des journaux des unités pour ce conflit, le site Mémoire des hommes n’a cessé de s’enrichir de nouvelles bases nominatives prenant en compte les trois premières générations du feu. Ainsi, sont également en ligne les bases des "Morts pour la France" de la Guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie (25 000 noms), de la Guerre d’Indochine (37 000 noms), des fusillés du Mont-Valérien (1 010 noms), des militaires décédés durant la Seconde Guerre mondiale (203 000 noms).

En 2012, deux nouvelles bases ont intégré Mémoire des hommes. La première concerne les soldats tués sur les théâtres d'opérations extérieurs entre 1905 et 1962, la seconde intéresse la 4e génération du feu : depuis 1963, des milliers de soldats sont déployés sur différentes opérations extérieures (OPEX) qui ont coûté la vie à plus de 600 militaires français.

A l'occasion de la fin de la Guerre de Corée, en 2013, une base nominative (289 noms) en articulation avec une carte interactive des principaux lieux de décès des soldats, ainsi que les JMO du Bataillon français de l'ONU, ont été mis en ligne.

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Avant d’être le gardien des archives audiovisuelles de la Défense, le fort d’Ivry est un élément de la ceinture défensive de Paris. Construit entre 1841 et 1846, dans le cadre du plan de fortification d’Adolphe Thiers, le fort abrite, depuis 1946, les locaux du service cinématographique des armées (SCA).

Siège de combats en 1870 et 1871, il conserve en grande partie ses éléments d’origine, ainsi qu’un formidable réseau de carrières, exploité jusqu’au milieu du XIXe siècle pour l’édification de nombreux monuments parisiens. En 1841, Adolphe Thiers, député et principal promoteur de l’enceinte fortifiée parisienne, déclare : « C’est Paris qui parle par la presse, qui commande par le télégraphe. Frappez ce centre et la France est, comme un homme, frappée à la tête ».

Un crédit exceptionnel de cent quarante millions de francs est ouvert en avril 1841 pour permettre la construction des fortifications de Paris. Entre 1841 et 1846, d’immenses travaux sont effectués sous la supervision du général Dode de la Brunerie. La capitale est dotée d’une enceinte de trente-quatre kilomètres intra-muros, accompagnée d’une voie ferrée destinée à l’approvisionner en munitions. Seize ouvrages extérieurs casematés, appelés « forts », constituent une première ligne défensive. Le fort d’Ivry, placé entre les communes d’Ivry et de Vitry, s’inscrit dans ce dispositif.

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Créé par des passionnés de généalogie en 1996, Geneanet représente une communauté de près de deux millions de membres qui partagent et échangent gratuitement de nombreuses informations généalogiques : plus d'un milliard d'individus répertoriés dans des arbres généalogiques, des actes numérisés, des cartes postales, des photos de famille, des dépouillements d'état civil accessibles via de puissants outils de recherche, un wiki et un blog. Via la partie commerciale de son site, vous pourrez découvrir la plus grande boutique de généalogie sur Internet, et des millions de relevés d'actes d'état civil vendus par divers partenaires.

Geneanet propose également un abonnement "membre Premium" qui permet de naviguer sans publicité et d'accéder à des outils de recherche supplémentaires.

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La filiation d'une personne s'établit à partir des actes d'Etat civil.

Les actes d'Etat civil sont conservés aux archives départementales, aux archives communales ou directement dans les services d'Etat civil pour les actes de moins de 100 ans. Ces documents sont en général accessibles librement (délais de 75 ans pour les actes de mariages et de naissances).

Cependant, retrouver un acte aux archives départementales nécessite de connaître le lieu et la date de l'acte. Ces informations étant rarement connues, les recherches aux archives sont souvent longues et difficiles.

L'intérêt de GeneaService est le mode de classement de nos archives par zone géographique et période. Ce mode de classement permet de retrouver facilement un acte sans en connaître le lieu précis ni l'année exacte.

GeneaService ne vous communique pas l'acte authentique mais un extrait.

Une fois que vous aurez ces informations, vous pourrez très simplement, si vous le souhaitez, retrouver l'acte original aux archives départementales.

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Pourquoi commencer un arbre généalogique ?

Non seulement c’est le moyen le plus facile d’organiser, de préserver et de partager l’histoire de votre famille, mais c’est également un lien direct vers les informations manquantes dans votre généalogie.

Alors que l’accès à la majorité des documents disponibles sur Ancestry requiert un abonnement payant, la création de votre arbre en ligne est, quant à elle, entièrement GRATUITE. Regardez votre arbre généalogique prendre vie sous vos yeux.

Organisez toutes les images et les informations que vous collectez sur votre famille dans un emplacement en ligne unique, pratique et sécurisé. Créez une « Page d’une personne » individuelle qui contient une chronologie de toutes les personnes de l’arbre. Téléchargez ensuite des photos, joignez des documents historiques et faites des enregistrements audio puis ajoutez-les à votre arbre.

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Le Cercle de Généalogie Juive est la première association de généalogie juive en France. Fondé en 1984, il compte plus de six cents adhérents généalogistes amateurs, expérimentés et débutants.

Venez les rejoindre à Paris au cours d'une conférence, d'une réunion de groupes spécialisés, d'une permanence, au cours d'une conférence ou d'une réunion d' antenne en province, lisez leur revue, consultez leur fonds de documentation ou contactez leur secrétariat.

Association sans but lucratif, le Cercle est membre de l’International Association of Jewish Genealogical Societies (IAJGS) et de la Fédération Française de Généalogie (FFG).

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